Les obstacles
L’homme se trouve aujourd’hui dans l’incapacité de s’adapter psychologiquement et moralement à son environnement
qu’il crée jour après jour. A travers la vision d’un mode de fonctionnement du psychisme proposé par diverses
approches, qu’elles soient traditionnelles et jusqu’à la psychothérapie moderne, une constatation s’est largement
imposée selon toutes les théories - la souffrance de l’homme provient en grande partie de son ignorance et de ses
pensées négatives. La cause de ce comportement compulsif, cette inclinaison à répéter les mêmes erreurs, à être
confronté aux mêmes situations négatives ou de connaître des moments d’égarement et de confusion mentale, relève
de la nature de l’inconscient. La notion de liberté que l’on accorde à l’homme est bien relative et ne se situe pas au
niveau où la plupart d’entre-nous l’affirme et l’évalue.
L’être humain connaît-là son plus grand paradoxe, à la fois l’amplitude de sa liberté, puisque les créations et les choix
des évènements auxquels il est confronté dans l’existence lui sont attribués, mais cela se réalise à un niveau
inconscient. Et d’autre part, la limitation dans la mesure où précisément sa conscience insuffisamment éclairée, laisse
une grande partie de lui-même dans l’ombre.
En de nombreux cas nous n’avons pas le choix de ce qui doit advenir dans notre vie; bien souvent, nos décisions
prises en notre âme et conscience résultent de nos conditionnements passés. L’unique moyen d’acquérir une vraie
liberté, une véritable autonomie est d’étendre notre conscience à toutes les zones d’ombre présentes en nous, pour
entrer en possession de la totalité de notre être.Il s’agit avant tout d’effacer ces tendances ou d’en atténuer la force
pour acquérir une plus grande indépendance vis-à-vis d’elles. Dans la vie, toutes les émotions et pensées négatives
engrangées pendant et après notre naissance sont présentes dans notre corps physique et dans notre esprit, sous la
forme de tensions permanentes. Notre inconscient est constitué de divers scénarios qui jouent un rôle prépondérant
dans notre activité mentale. Une grande majorité des êtres humains sont soumis à un fonctionnement compulsif dù
précisement à la nature de ces éléments qui composent leur inconscient. Des éléments émotionnels, affectifs et
passionnels s’y joignent étroitement, ainsi que des données constitutives d’ordre purement intellectuels sur lesquels
l’esprit se fonde pour formuler un jugement ou bâtir un concept.
Il existe en chacun des zones d’ombres où habituellement la conscience ordinaire ne s’attarde guère. C’est le dépôt de
mille mémoires. L’endroit d’où proviennent les informations habituellement filtrées et déformées sous l’influence des
émotions mal maîtrisées. Nous écartons facilement notre attention de ces fonds mystérieux sur lesordres d’une voix
intérieure, celle de l’égo qui nous avertit que nous aurions à subir des conflirs intimes, graves et pénibles et
probablement devoir s’engager dans un processus de transformation qui peut s’avérer douloureux. On ne s’y approche
qu’avec une sorte de crainte et ce n’est qu’en cas de nécessité absolue, (maladie, expérience de mort imminente ou les
accidents par exemple) que l’on se résoue à en modifier la physionomie.
Dès lors, on conçoit l’importance de libérer notre inconscient d’un certain contenu pour vivre sans sentiments de
culpabilités inconscientes, hors de nos croyances limitatives et de nos peurs, et ainsi cesser d’être l’instrument de ces
forces présentes en soi.
qu’il crée jour après jour. A travers la vision d’un mode de fonctionnement du psychisme proposé par diverses
approches, qu’elles soient traditionnelles et jusqu’à la psychothérapie moderne, une constatation s’est largement
imposée selon toutes les théories - la souffrance de l’homme provient en grande partie de son ignorance et de ses
pensées négatives. La cause de ce comportement compulsif, cette inclinaison à répéter les mêmes erreurs, à être
confronté aux mêmes situations négatives ou de connaître des moments d’égarement et de confusion mentale, relève
de la nature de l’inconscient. La notion de liberté que l’on accorde à l’homme est bien relative et ne se situe pas au
niveau où la plupart d’entre-nous l’affirme et l’évalue.
L’être humain connaît-là son plus grand paradoxe, à la fois l’amplitude de sa liberté, puisque les créations et les choix
des évènements auxquels il est confronté dans l’existence lui sont attribués, mais cela se réalise à un niveau
inconscient. Et d’autre part, la limitation dans la mesure où précisément sa conscience insuffisamment éclairée, laisse
une grande partie de lui-même dans l’ombre.
En de nombreux cas nous n’avons pas le choix de ce qui doit advenir dans notre vie; bien souvent, nos décisions
prises en notre âme et conscience résultent de nos conditionnements passés. L’unique moyen d’acquérir une vraie
liberté, une véritable autonomie est d’étendre notre conscience à toutes les zones d’ombre présentes en nous, pour
entrer en possession de la totalité de notre être.Il s’agit avant tout d’effacer ces tendances ou d’en atténuer la force
pour acquérir une plus grande indépendance vis-à-vis d’elles. Dans la vie, toutes les émotions et pensées négatives
engrangées pendant et après notre naissance sont présentes dans notre corps physique et dans notre esprit, sous la
forme de tensions permanentes. Notre inconscient est constitué de divers scénarios qui jouent un rôle prépondérant
dans notre activité mentale. Une grande majorité des êtres humains sont soumis à un fonctionnement compulsif dù
précisement à la nature de ces éléments qui composent leur inconscient. Des éléments émotionnels, affectifs et
passionnels s’y joignent étroitement, ainsi que des données constitutives d’ordre purement intellectuels sur lesquels
l’esprit se fonde pour formuler un jugement ou bâtir un concept.
Il existe en chacun des zones d’ombres où habituellement la conscience ordinaire ne s’attarde guère. C’est le dépôt de
mille mémoires. L’endroit d’où proviennent les informations habituellement filtrées et déformées sous l’influence des
émotions mal maîtrisées. Nous écartons facilement notre attention de ces fonds mystérieux sur lesordres d’une voix
intérieure, celle de l’égo qui nous avertit que nous aurions à subir des conflirs intimes, graves et pénibles et
probablement devoir s’engager dans un processus de transformation qui peut s’avérer douloureux. On ne s’y approche
qu’avec une sorte de crainte et ce n’est qu’en cas de nécessité absolue, (maladie, expérience de mort imminente ou les
accidents par exemple) que l’on se résoue à en modifier la physionomie.
Dès lors, on conçoit l’importance de libérer notre inconscient d’un certain contenu pour vivre sans sentiments de
culpabilités inconscientes, hors de nos croyances limitatives et de nos peurs, et ainsi cesser d’être l’instrument de ces
forces présentes en soi.
Les obstacles
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